Monsieur Bernard DETHIER

Domicilié à Vedrin (5020)
Né à Namur (5000) le vendredi 31 août 1934
Décédé à Vedrin (5020) le mercredi 14 mars 2012 à l'âge de 77 ans
Epoux de Madame Jacqueline SMAL

Espace « condoléances » 

Cet espace condoléances a été créé le mercredi 14 mars 2012.

In memoriam

Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Bernard DETHIER. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même. 
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile. 
Merci d’avance. 

34 messages (30 privés)
 
Carte de visite 

Rose GILGEAN- 16-03-12

Condoléances 

Toutes mes plus sincères condoléances pour le décès de l'ami Bernard.
C'était un personnage haut en couleurs, toujours de bonne humeur, qui, par sa présence, marquait les rencontres.
Je vous souhaite beaucoup de courage pour traverser cette pénible épreuve et j'espère que les témoignages vous aideront quelque peu à surmonter votre peine. Bien à vous

Christiane LEMAIRE- 16-03-12

Condoléances 

Devant ce douloureux coup du sort, nous sommes à la fois tristes et décontenancés.
Nous savons combien ce malheur vous a atteint et nous tenons à ce que vous sachiez toute la part que nous prenons à votre douleur.
Nous vous prions d’accepter notre respectueuse sympathie.

Pierre PAQUET et le Département du Patrimoine- 15-03-12

Hommage 

Quand Bernard se pointait quelque part, c'était un peu comme un arbre gigantesque qui entrait dans la pièce. Encombré de ses ramures, des feuilles qui bruissaient en quantité importante par dessus, de sa taille, de son poids, de ses idées débordantes et renouvelées à chaque printemps, et d'un commentaire permanent qui m'a toujours, quelque part, évoqué Devos. Il déplaçait le vent. Il aimait le boi...s d'ailleurs, puisqu'il se faisait accompagner d'une canne, soulageant ses difficultés de marche. Mais avant tout, il avait la texture, la robustesse et l'essence du chêne, ancré dans son sol, se nourrissant exclusivement de ses passions. C'était un amoureux de sa ville, de son terroir et des "bonnes gens" de Namur. Droit et fidèle à toutes convictions puisées dans ses racines, arrosées de sa "Meuse" à laquelle il vouait un attachement adolescent et resté vivace. Cultivé, encyclopédique dans sa mémoire locale, profond, inconditionnel, sans réserve. C'était aussi un vrai humaniste, engagé pour les autres et leur mieux-être, avant toute considération politique. Le cousin local d'Arthur Masson: l'histoire ne le rapporte pas, mais sans doute ont-ils longuement discuté, à certaines époques, sur la terrasse d'un des Cafés de la Place de la Gare, où le père de Toine aimait s'attarder avant de reprendre le train le ramenant sur la vallée mosane ou l'Entre-Sambre-et- Meuse. Pour l'heure, il est ravi de gravir une pente qui a dû le surprendre: il ne s'y attendait pas. Et sa voix de basse, ample, grave, s'amuse certes à nous rappeler que le Vive Nameur po tôt se conclut par :
« Nameur po l'paix, po l'joie
Todis nos rians vaici
Quand n's aurans fait l'deirenn' boie
Nos chantrans au Paradis...".
Bons nouveaux chemins, Bernard...

Dominique JACQUES- 14-03-12